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Juste avant de mourir, le cygne chanterait davantage et avec plus de force. Cette caractéristique a donné l'expression (chant du cygne) qui remonte à l’Antiquité grecque (en référence au dernier discours de Socrate condamné à mort pour impiété
Ces deux là se sont posés sur l'étang je me suis baissée pour les prendre en photo ,il sont venus vers moi j ai presque pu les toucher mais un des d' eux grognait , j 'ai opté pour la fuite
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L'araignée GypsyChanson enfantine
L'araignée Gypsy monte à la gouttière
Tiens voilà la pluie,
Gypsy tombe par terre,
Mais le soleil a séché la pluie…
L'araignée Gypsy monte à la gouttière
Tiens voilà la pluie,
Gypsy tombe par terre,
Mais le soleil a séché la pluie…
L'araignée Gypsy s'est endormie.
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LE HÉRON
Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où
Le Héron au long bec emmanché d’un long cou.
Il côtoyait une rivière.
L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours ;
Ma commère la Carpe y faisait mille tours
Avec le Brochet son compère.
Le Héron en eût fait aisément son profit :
Tous approchaient du bord, l’Oiseau n’avait qu’à prendre ;
Mais il crut mieux faire d’attendre
Qu’il eût un peu plus d’appétit.
Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
Après quelques moments l’appétit vint ; l’Oiseau
S’approchant du bord vit sur l’eau
Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
Le mets ne lui plut pas ; il s’attendait à mieux,
Et montrait un goût dédaigneux
Comme le Rat du bon Horace. (1)
Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
La Tanche rebutée (2), il trouva du Goujon.
Du Goujon ! c’est bien là le dîné d’un Héron !
J’ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
Il l’ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
Qu’il ne vit plus aucun Poisson.
La faim le prit ; il fut tout heureux et tout aise
De rencontrer un Limaçon.
Ne soyons pas si difficiles :
Les plus accommodants, ce sont les plus habiles :
On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
Gardez-vous de rien dédaigner ;
Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
Bien des gens y sont pris ; ce n’est pas aux Hérons
Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ;
Vous verrez que chez vous j’ai puisé ces leçonsFable, JEAN DE LA FONTAINE,
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