Pour les amis du camping ,

• Tillières-sur-Avre est un village pittoresque et typique de la Normandie. Le charme et la diversité de ses paysages se marient à la richesse de son patrimoine architectural : église classée, château, porte médiévale, maisons à pans de bois…. Dès le XIe siècle, Tillières assoit son rôle stratégique en devenant une place forte qui protégera la frontière sud entre le Duché de Normandie et le Royaume de France. • • Mise en lumières de l’église, des lavoirs et des murailles en soirée. • • Parcours libres et fléchés : circuit historique “Au fil des pierres et de l’eau” (départ de l’église) et circuit nature “Le bord de l’eau, labeur de l’eau” (départ des étangs du Pont Auber, route de Bérou). Plans disponibles en mairie de Tillières-sur-Avre et à l’Office de Tourisme à Verneuil-sur-Avre ou à télécharger (circuit historique et circuit nature). • • Eglise ouverte tous les jours de 9h à 17h30. • Parcours / Visite : Parcours libres commentés sur panneaux

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St Germain/Avre – Mesnil/L’Estrée

Les villages de Saint Germain-sur-Avre et de Mesnil-sur-L’Estrée, nichés dans la jolie vallée d’Avre, sont à découvrir à l’occasion d’une randonnée à pied ou à VTT en suivant une partie du GR22 ou le circuit des Trois Ponts. Mesnil-sur-L’Estrée est marqué par deux noms : Firmin-Didot et Sarda Garriga. La famille Firmin-Didot s’est établi à Mesnil il y a plusieurs générations pour exercer son activité d’imprimerie. Connue depuis le XVIème siècle en Lorraine, les Didot s’illustrent à Paris sous Louis XIV. Au fil des siècles, ils deviendront les imprimeurs des rois, des révolutionnaires et des empereurs, révolutionnant l’activité par l’introduction de nouvelles machines, toujours plus performantes. La grande imprimerie au style industriel du XIXème siècle que l’on peut voir aujourd’hui sur l’Avre, fut fondée en 1834. D’autres bâtisses ont été fondées ou restaurées par la famille : le château du Mesnil Bas, les anciennes écuries, les Perrons (alignée d’appartements d’un seul tenant, construites sur caves et ornementée d’un large balcon d’accès), la chapelle, le château du Mesnil Haut, le moulin d’Auger... L’ancien Prieuré Saint-Martin d’Heudreville fut fondé en 1113 ou 1114 pour abriter une partie des Bénédictins de l’abbaye de Thiron (en Eure-et-Loir). Le prieuré proprement dit ne représente qu’une faible partie d’un domaine de presque cent hectares, limité par les remparts d’enceinte du cloître (édifiés en 1132). En 1863, Sarda Garriga, ancien préfet de la Réunion qui avait aboli l’esclavage sur l’île, s’installe dans le prieuré. Il y produira de l’eau minérale connue pendant quelques années sous le nom d’Eau Minérale Nitrée du Prieuré d’Heudreville. Mort en 1877, il est aujourd’hui enterré dans le cimetière communal où sa mémoire est honorée régulièrement par les Mesnilois, les Réunionnais et les Catalans. Saint Germain-sur-Avre présente quelques curiosités. D’abord, le Donjon de Bouillon-Viéville. C’est une construction qui respecte l’esthétisme et les règles des XIIème et XIIIème siècles, mais construit à notre époque. Il aura fallu 25 années à son créateur, l’artiste-peintre Didier Lobert de Bouillon-Viéville, pour édifier avec beaucoup de passion cet étonnant « donjon contemporain ». Ensuite, le Salon de lecture, petite construction sur un îlot minuscule d’un bras de l’Avre. Et enfin, l’église intéressante à la fois par son ancienneté et sa situation pittoresque au sommet de la colline.

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Nonancourt

Nonancourt fut fortifiée vers 1112 par Henri 1er Beauclerc : une puissante forteresse flanquée de 14 tours. De l’autre côté de l’Avre, les Français avaient bâti leur propre fort à Saint Rémy-sur-Avre pour surveiller ces trop puissants vassaux qu’étaient les Ducs de Normandie. Aujourd’hui, on peut longer les vestiges des remparts et lire des noms de rue comme “Passage de la Herse” ou “Quai du Guichet”. Également, à découvrir : l’église Saint Martin qui a subi une grande restauration en 2000-2001. Ses vitraux constituent un ensemble remarquable. L’ensemble du mobilier est classé depuis 1975. La cloche de l’ancien Hôtel-Dieu de Nonancourt est exposée dans l’église du côté de l’ancien mouvement mécanique de l’horloge ecclésiastique. Parcours libres : “La Balade des remparts” et “L’église Saint Martin“. Livrets en vente (2€) au Syndicat d’Initiative de Nonancourt et à l’Office de Tourisme de Verneuil-sur-Avre. “Promenade au fil de l’eau” et “A travers nos bois“. Descriptif disponible au Syndicat d’Initiative de Nonancourt. Visites guidées de l’église et du bourg avec M. Guingnier, bénévole, sur RDV au 02 32 58 21 41 ou 06 21 10 19 98. Pour individuels : mercredi et samedi de 10h à 12h sur RDV. Pour groupes : tous les jours sur RDVAdresse : Syndicat d'Initiative - Grande Rue 27320 Nonancourt Parcours / Visite : Parcours libres commentés sur livrets, visites guidées.

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La nuit de l’escargot gourmand

Muni d’une lampe torche que tu apporteras, découvre lors d’une visite insolite la vie de l’élevage de ces petits animaux nocturnes. Nourris-les dans ta main puis traditionnelle course d’escargots. Dégustation offerte et souvenir. Penser aux bottes en cas de pluie ! Tarif de l’animation : 3,50€/enfant et 6€/adulte. Dates : les 11 et 25 juillet de 22h30 à 23h30. Coordonnées et infos pratiques Adresse : RN 12 lieu dit les Marnières 27570 TILLIERES-SUR-AVRE Mobile : 06 71 71 16 03 Dates

Le Vendredi 25 Juillet 2014 Horaires   de 22:30 à 23:30 •

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Visite guidée “Verneuil, terre de légendes

Une visite dont vous êtes le héros ! Le temps d’une déambulation nocturne, (re)vivez l’histoire de Verneuil comme vous ne l’avez jamais vue ! Devenez marchand, « chambrière » amoureuse ou « écorcheur » au Moyen Âge, gentilhomme ou brigand de grand chemin au XVIIe siècle ou encore aubergiste fantasque dans les années 1880… En incarnant ces personnages – et bien d’autres – vous (re)découvrirez petite et grande histoire d’une ville et de ses lieux emblématiques. Le guide vous proposera des dialogues que vous interpréterez en toute convivialité (saynètes basées sur des textes d’archives historiques). Au fil de ce jeu de rôles, vous avancerez dans le labyrinthe des ruelles de l’ancienne cité normande. Tarifs : 3.50 € / adulte – Gratuit / moins de 12 ans. Réservation obligatoire auprès de l’Office de Tourisme. Coordonnées et infos pratiques Adresse : 129 place de la Madeleine 27130 VERNEUIL-SUR-AVRE Mobile : 02 32 32 17 17 Email : accueil@normandie-sud-tourisme.fr Site internet : http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Dates Le Vendredi 25 Juillet 2014   à 20:45

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Les merveilles d’Afrique

Journée organisé en soutien de l’association AU CARREFOUR DES CULTURES. Programme: Toute la journée Exposition: - Instruments de musique - bijoux et tenues africaine - jouets en bambous du Cameroun et jouet du monde. - Stands associatifs Restauration: - bar et crêperie A partir de 14h Atelier: - Tresse africaine - Fabrication de jouet - Rythme et Percutions (apporter des instruments) A partir de 16h - Exposé présenté par ANITA YA AFRIKA (berceuse Bantou) - Projection de documentaires - Contes et animations A partir de 19h Gastronomie africaine: Ndole, frites de plantain, beignets, jus de gingembre… (repas à partir de 8€ réservation indispensable ) Concert à partir de 20h Tarif: 5 € gratuit pour les – de 16 ans Coordonnées et infos pratiques Adresse : Salle des fêtes Rond-point de la Victoire 27130 VERNEUIL-SUR-AVRE Mobile : 06 24 79 62 99 Dates Le Samedi 26 Juillet 2014 Horaires • A 09:00

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Visite guidée “Recoins cachés

Des visites guidées de Verneuil-sur-Avre vous dévoilent un patrimoine habituellement fermés au public. Réservation fortement conseillée auprès de l’office de tourisme ! Derrière ses façades témoignant des splendeurs du Moyen Âge, de la Renaissance et du XVIIIe siècle, au fil des cours et des jardins clos par de hauts murs, Verneuil abrite bien des surprises, cachées aux yeux des passants. Partez à la découverte d’un patrimoine et d’une histoire méconnus mais préservés, et faites la connaissance intime de ces lieux où se mêlent harmonieusement « petite » et « grande » histoire. (durée : 2 h) Tarifs : 3.50 € / adulte – Gratuit / moins de 12 ans. Sur réservation. Coordonnées et infos pratiques Adresse : 129, Place de la Madeleine 27130 VERNEUIL-SUR-AVRE Téléphone : 02 32 32 17 17 Email : accueil@normandie-sud-tourisme.fr Site internet : http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Dates Le Samedi 26 Juillet 2014 Horaires •  à 14:30

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SAMEDI 26 JUILLET 2014

BRIONNE Foire à tout

LA HARENGERE Foire à tout

DIMANCHE 27 JUILLET 2014

CHERONVILLIERS Vide-greniers •• CONTEVILLE Foire a tout, marché artisanal en semi nocturne •• ETREVILLE Foire à tout ••• GIVERVILLE Foire à tout LA HARENGERE Foire à tout • LA HAYE SAINT SYLVESTRE Foire à tout •• MARAIS VERNIER Foire à tout • PERRIERS SUR ANDELLE Foire à tout • SAINT NICOLAS D'ATTEZ Foire aux puces •••• SAINT OUEN DU TILLEUL FOIRE A TOUT BRADERIE ••• TOUFFREVILLE Foire à tout VERNON 

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Tout le monde connaît Lisieux au moins de nom . Mais y êtes - vous allez ? Moi j 'y suis allée l'an passé , je voulais découvrir la ville , la Basilique , le Carmel mais surtout approcher au plus près Sainte Thérèse de Lisieux .  Faites vous votre propre opinion , pour moi cette jeune femme a sublimé ses  souffrances d'enfant   dans la foi jusqu' a en mourir , je pense que la tête est intimement liée au corps et que l'ont peu agir de façon négative comme positive sur celui -ci , d'ou les maux (et non les mots ) pour le dire

Marie-Françoise Thérèse Martin, en religion sœur Thérèse de l’Enfant-Jésus et de la Sainte-Face, également connue sous les appellations sainte Thérèse de Lisieux, sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus ou encore la petite Thérèse, est une religieuse carmélite française née à Alençon (Orne) le 2 janvier 1873 et morte à Lisieux le 30 septembre 1897. Le retentissement de ses publications posthumes, dont Histoire d'une âme publiée peu de temps après sa mort, en fait l'une des plus grandes saintes du XIX^e siècle. La dévotion à sainte Thérèse s'est développée partout dans le monde

En mars, âgée de deux mois, elle frôle la mort et doit être confiée à une nourrice, Rose Taillé, qui avait déjà nourri deux enfants du couple Martin. Elle se rétablit et elle grandit dans la campagne normande, dans cette ferme de Semallé, distante de 8 kilomètres^[ . À son retour à Alençon, le 2 avril 1874, sa famille l'entoure d'affection. Sa mère dira d'elle qu'« elle est d'une intelligence supérieure à Céline, mais bien moins douce, et surtout d'un entêtement presque invincible. Quand elle dit non, rien ne peut la faire céder. »^[  Espiègle et malicieuse, elle réjouit sa famille par sa joie de vivre. Mais elle est également émotive et pleure souvent^[ .

À quatre ans et demi, Thérèse vient de perdre sa mère. Elle en est profondément marquée. Plus tard, elle considérera que « la première partie de sa vie s'est arrêtée ce jour-là »^[  Elle choisit alors sa grande sœur Pauline comme mère adoptive

Pauline

Au cours de l'été 1882, Thérèse a neuf ans. Elle apprend fortuitement que sa sœur Pauline veut entrer au Carmel La perspective du départ de sa « seconde maman », la pousse au désespoir: « […] l'ayant appris par surprise, ce fut comme si un glaive s'était enfoncé dans mon cœur . C'est le lundi 2 octobre 1882 que Pauline entre au carmel de Lisieux, où elle prend le nom de « sœur Agnès de Jésus ». Journée d'autant plus triste pour Thérèse, qu'elle doit également reprendre le chemin de l'école pour une nouvelle année. Sautant une classe, elle entre en 3e, où l'on prépare la première communion. L'instruction religieuse sera l'une des matières importantes, une matière dans laquelle Thérèse excelle. La perspective de la communion, tant attendue, est pour elle un rayon de soleil. Mais, comble de malheur, elle en est exclue à cause d'un règlement récent de l'évêché qui fixe l'âge des communiantes. L'oncle Isidore n'hésite pas à se rendre à Bayeux pour solliciter une dispense de l'évêque, mais il rentre bredouille. Même la demi-heure que la supérieure accorde à Pauline pour rencontrer sa famille au parloir chaque jeudi devient pour Thérèse un supplice. La jeune carmélite la néglige un peu, et il ne reste souvent que deux ou trois minutes pour lui parler : « Ah ! ce que j'ai souffert à ce parloir du carmel ! » À dix ans, il lui semble perdre sa maman pour la seconde fois : « Je me disais au fond de mon cœur : « Pauline est perdue pour moi !!!

Une étrange maladie

Vers le mois de décembre 1882, la santé de Thérèse se dégrade étrangement : elle est prise continuellement de maux de tête, de douleurs au côté. Elle mange peu, dort mal ; des boutons apparaissent. Son caractère change également : elle se fâche parfois avec Marie, et se chamaille même avec Céline, pourtant si proche d'elle. Au parloir du carmel, Pauline s'inquiète pour sa jeune sœur, à qui elle prodigue conseils et réprimandes affectueuses Pendant les vacances de Pâques 1883, Louis Martin organise un voyage à Paris avec Marie et Léonie. L'oncle Guérin accueille de son côté Céline et Thérèse. Le 25 mars, soir de Pâques, on évoque au repas le souvenir de Zélie. Thérèse s'effondre alors en larmes et on doit la coucher. Elle passe une nuit très agitée ; son oncle inquiet fait appel le lendemain à un médecin. Celui-ci diagnostique « une maladie très grave dont jamais aucune enfant n'a été atteinte ». Devant la gravité de son état, on adresse un télégramme à Louis, qui revient en hâte de Paris Plusieurs fois par jour, elle souffre de tremblements nerveux, d'hallucinations et de crises de frayeur. Puis elle est prise d'un grand état de faiblesse et, bien qu'elle garde toute sa lucidité, on ne peut la laisser seule. Pourtant, la malade répète qu'elle veut assister à la prise d'habit de Pauline, prévue le 6 avril. Le matin du jour fatidique, après une crise particulièrement forte, Thérèse se lève comme par miracle et, apparemment guérie, se rend avec sa famille au carmel. Elle passe ainsi toute la journée, pleine de gaieté et d'entrain. Mais le lendemain, c'est une rechute brutale : la malade délire et semble privée de sa raison. Le médecin, très inquiet, ne trouve toujours pas l'origine de son mal. Louis Martin se demande si sa « pauvre petite fille » ne va pas mourir ou sombrer dans la folie. Toute la famille prie pour Thérèse, on fait dire une neuvaine de messes à l'église Notre-Dame des Victoires à Paris, on place dans sa chambre une statue de la Vierge. Mais la malade ne retrouve provisoirement la raison que lorsqu'elle reçoit une lettre de sa sœur carmélite, qu'elle lit et relit maintes fois. Le 13 mai 1883, jour de la Pentecôte, Léonie, Marie et Céline tentent de calmer Thérèse qui ne les reconnaît pas. Impuissantes à la soulager, elles s'agenouillent au pied du lit et se tournent vers la statue de la Vierge. Thérèse racontera plus tard : « Ne trouvant aucun secours sur la terre, la pauvre petite Thérèse s'était aussi tournée vers sa mère du Ciel, elle la priait de tout son cœur d'avoir enfin pitié d'elle … » Thérèse est alors bouleversée par la beauté de la Vierge et surtout par le sourire qu'elle lui adresse : « Ah ! Pensais-je, la sainte Vierge m'a souri, que je suis heureuse … » À ce moment, la malade se détend devant ses sœurs stupéfaites. Dès le lendemain, toute trace de la maladie disparaît, si ce n'est deux petites alertes dans le mois suivant. Thérèse demeure fragile, mais elle ne souffrira à l'avenir d'aucune nouvelle manifestation de ces troubles. Le médecin ayant conseillé à la famille d'éviter à la fillette toute émotion forte, elle est désormais choyée à l'excès par son entourage. Fin mai 1883, elle peut reprendre les visites à Pauline, au parloir du carmel. Questionnée par sa sœur Marie, Thérèse, qui s'était pourtant promis de garder le secret du sourire de la Vierge, finit par tout lui raconter. Les carmélites crient au miracle et la pressent de questions. Sa joie se change alors en souffrance : elle s'imagine avoir trahi la Vierge. D'autant qu'un doute insidieux s'infiltre en elle : n'a-t-elle pas simulé sa maladie? Elle écrira : « Je me figurais avoir menti… je ne pouvais me regarder sans un sentiment de profonde horreur. Ah ! Ce que j'ai souffert, je ne pourrai le dire qu'au ciel ! » Le doute et la culpabilité vont la harceler pendant cinq années

La vie discrète d'une carmélite

Les années qui suivent sont celles de la maturation de sa vocation. Thérèse prie sans grandes émotions sensibles, mais avec fidélité. Elle évite de se mêler des débats qui troublent parfois la vie communautaire. Elle multiplie les petits actes de charité et d'attention aux autres, rendant de menus services, sans les signaler. Elle accepte en silence les critiques, même celles qui peuvent être injustes et sourit aux sœurs qui sont déplaisantes avec elle. Elle essaie de tout faire, y compris les plus petites choses, par amour et avec simplicité. Elle prie toujours beaucoup pour les prêtres, et particulièrement pour le père Hyacinthe Loyson, célèbre prédicateur qui a été excommunié en 1869 et a ensuite quitté l'Église catholique L'aumônier du carmel, l'abbé Youf, est un homme scrupuleux, qui insiste beaucoup sur la peur de l'enfer. Des prédicateurs de retraites spirituelles partagent le même défaut. Cela n'aide pas Thérèse qui vit, en 1891, de « grandes épreuves intérieures de toutes sortes » . Mais la retraite d'octobre 1891 est cette fois prêchée par le père Alexis Prou, qui insiste sur la miséricorde, la confiance et l'abandon entre les mains d'un Dieu aimant. Cela confirme Thérèse dans ses intuitions profondes . Elle écrira : « Il me lança à pleine voile sur les flots de la confiance et de l'amour qui m'attiraient si fort mais sur lesquels je n'osais avancer. » L'hiver 1891-1892, une épidémie d'influenza s'abat sur la France. Le carmel de Lisieux n'est pas épargné. Quatre religieuses meurent de cette maladie. Et toutes les sœurs sont atteintes, à l'exception de trois d'entre elles, dont Thérèse. Celle-ci se dépense sans compter pour ses sœurs alitées. Elle prodigue des soins, participe à l'organisation de la vie du carmel, fait preuve de courage et force d'âme dans l'adversité, notamment quand elle doit préparer l'enterrement de religieuses décédées. La communauté, qui la jugeait parfois peu utile et empruntée, la découvre désormais sous un autre jour . Sa vie spirituelle se nourrit de plus en plus des Évangiles, qu'elle porte toujours sur elle. Cette habitude n'était pas courante à l'époque. On préférait lire les commentaires de la Bible que de se référer directement à cette dernière. Thérèse y cherche directement « la parole de Jésus », qui l'éclaire dans ses oraisons et sa vie quotidienne

Maladie et nuit de la foi

Pendant le carême 1896, Thérèse suit rigoureusement les exercices et les jeûnes. Dans la nuit du Jeudi au Vendredi saint, elle est victime d'une première crise d'hémoptysie. Elle signale celle-ci à mère Marie de Gonzague, tout en insistant sur le fait qu'elle ne souffre pas et n'a besoin de rien. Une seconde crise se reproduit la nuit suivante. Cette fois, la prieure s'inquiète et autorise son cousin, le docteur La Néele, à l'ausculter. Celui-ci pense que le saignement a pu provenir de la rupture d'un vaisseau sanguin dans la gorge. Thérèse ne se fait aucune illusion sur son état de santé, mais elle n'éprouve aucune crainte. Bien au contraire, car la mort va bientôt lui permettre de monter au ciel et de retrouver celui qu'elle est venue chercher au carmel : sa joie est à son comble Elle continue de participer à toutes les activités du carmel, sans ménager ses forces.... Suite Wikipédia Thérèse de Lisieux

Aggravation de la maladie

Janvier 1897, Thérèse vient d'avoir vingt-quatre ans et elle écrit : « je crois que ma course ne sera pas longue ». Pourtant, malgré l'aggravation de la maladie pendant l'hiver, Thérèse parvient encore à donner le change aux carmélites et à tenir sa place dans la communauté. Mais au printemps, les vomissements, les fortes douleurs à la poitrine, les crachements de sang deviennent quotidiens et Thérèse s'affaiblit . En avril 1897, elle subit le contrecoup de l'affaire Diana Vaughan. Celle-ci est connue depuis 1895 par ses mémoires, racontant son passage dans les milieux sataniques, suivi de sa conversion grâce à l'exemple de Jeanne d'Arc. Thérèse, frappée comme beaucoup de catholiques par ce témoignage, et admirative d'une prière composée par Diana Vaughan, lui a envoyé quelques lignes . Et Mère Agnès a joint au courrier une photo de Thérèse jouant le rôle de Jeanne d'Arc . Thérèse a aussi écrit, en juin 1896, une courte pièce de théâtre, s'inspirant de la conversion de Diana Vaughan, et intitulée Le Triomphe de l'humilité . Diana Vaughan vivant cachée, c'est un nommé Léo Taxil, ancien anticlérical, converti lui aussi, qui est son intermédiaire auprès de la presse. Mais, à partir de 1896, on se met à douter de sa sincérité. Léo Taxil annonce alors, pour le 19 avril 1897, une conférence qu'il donnera avec la célèbre jeune femme. Lors de cette séance publique, il révèle que Diana Vaughan n'a jamais existé et que cette histoire est un canular monté de toute pièce. L'assistance est scandalisée. Au carmel, on apprend la nouvelle le 21 avril. Et le 24, Thérèse découvre que la photo la représentant en Jeanne d'Arc a été projetée lors de la conférence . Elle vit cet épisode comme une humiliation , et une épreuve, surtout dans cette période où elle est tenaillée par les doutes En juin, mère Marie de Gonzague lui demande de poursuivre la rédaction de ses mémoires . Il lui arrive d'écrire dans le jardin, sur la chaise d'infirme utilisée par son père dans les dernières années de sa maladie, et cédée ensuite au carmel . Son état empirant, elle est placée le 8 juillet 1897 à l'infirmerie, où elle restera pendant douze semaines jusqu'à sa mort Tombeau de Sainte-Thérèse dans le Carmel de Lisieux. Se sachant condamnée, et vivant toujours cette nuit de la foi qui la prive de l'impression intérieure d'une vie après la mort, Thérèse n'en continue pas moins de dire, à plusieurs reprises, son espérance . Le 17 juillet, elle confie : « Je sens que je vais entrer dans le repos… Mais je sens surtout que ma mission va commencer, ma mission de faire aimer le bon Dieu comme je l'aime, de donner ma petite voie aux âmes. Si le bon Dieu exauce mes désirs, mon Ciel se passera sur la terre jusqu'à la fin du monde. Oui, je veux passer mon Ciel à faire du bien sur la terre. » Le 17 août, le docteur La Néele examine Thérèse. Son diagnostic est sans appel : c'est une tuberculose au stade le plus avancé, un poumon est perdu et l'autre atteint, les intestins sont touchés. Ses souffrances sont alors extrêmes : « C'est à en perdre la raison. » Puis elles s'apaisent dans une dernière phase de rémission ; Thérèse reprend quelques forces, elle retrouve même son humour . Ses sœurs consignent ses paroles. Elles lui demandent comment l'invoquer quand elles prieront plus tard ; elle répond qu'il faudra l'appeler « petite Thérèse » À partir du 29 septembre 1897, son agonie commence. Elle passe une dernière nuit difficile, veillée par ses sœurs. Au matin, elle leur dit : « C'est l'agonie toute pure, sans aucun mélange de consolation. » Elle demande à être préparée spirituellement à mourir. Mère Marie de Gonzague la rassure, lui disant qu'ayant toujours pratiqué l'humilité, sa préparation était faite. Thérèse réfléchit un instant puis répond : « Oui, il me semble que je n'ai jamais cherché que la vérité ; oui, j'ai compris l'humilité du cœur… » Sa respiration est de plus en plus courte, elle étouffe . Après plus de deux jours d'agonie, elle est épuisée par la douleur : « Jamais je n'aurais cru qu'il était possible de tant souffrir ! Jamais ! Jamais ! Je ne puis m'expliquer cela que par le désir ardent que j'ai eu de sauver des âmes. » Vers sept heures du soir, elle prononce ses dernières paroles « Oh ! je l'aime ! … Mon Dieu … Je vous aime … » Elle s'affaisse, puis rouvre une dernière fois les yeux. D'après les carmélites présentes, elle a alors une extase, qui dure l'espace d'un credo, avant de rendre le dernier soupirE 43. Elle meurt le 30 septembre 1897 à 19 h 20, à l'âge de vingt-quatre ans . « Je ne meurs pas, j'entre dans la vie », écrivait-elle dans l'une de ses dernières lettres. Elle est inhumée le 4 octobre au cimetière de Lisieux, dans une nouvelle concession acquise pour le carmel. Les carmélites ne peuvent quitter le couvent, et c'est un « fort petit » cortège qui suit le corbillard

Source pour tout cet article Wikipédia

Pour avoir fait la ballade

  Que lit-on dans le lit de l’Iton , je peux vous dire que nous avons passé  un bel après midi

Le village de Gouville est surtout connu pour son Domaine de Chambray, témoin d’une histoire longue de 8 siècles. Prenant le nom de cette terre située en bordure de l’Iton, une famille s’y installe et y reste attachée de l’époque du duché normand à la Seconde Guerre Mondiale.

Le domaine est constitué d’un château (XVIe, XVIIIe siècles), d’un colombier, d’une chapelle, d’un pressoir, d’un arboretum, d’un parc de 32 hectares, le tout dans un environnement préservé.

Ce vaste domaine se découvre au fil de ses circuits :

-”Un domaine seigneurial normand” (panneaux explicatifs en extérieur) et “Tékitoi” (livret jeux à partir de 7 ans) vous permettent d’explorer l’histoire et le patrimoine bâti du Domaine de Chambray

-“Que lit-on dans le lit de l’Iton ?” : parcours de 2,5 km fléché et ponctué de lutrins d’interprétation pour une découverte de la faune et flore sauvage des milieux humides de la vallée.  

-“La Forêt en-Chambray” : parcours de 2 km agrémenté de panneaux explicatifs et ludiques sur les thèmes des champignons, des arbres, des chouettes… dans la collection forestière du Domaine;

-“A la découverte de l’agriculture durable” : parcours de 3 km au sein de l’exploitation du Lycée agricole qui dévoile les actions et objectifs de l’établissement en terme de préservation des ressources en eau, du sol et de la biodiversité.

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Montigny-sur-Avre / Courteilles

Découvrez les charmants villages de Montigny et Courteilles, en suivant le parcours “Avre de Nature”. Vous apprendrez que la vallée d’Avre a joué un rôle dès le Moyen-Age dans l’histoire de la Normandie et qu’elle a ensuite été l’objet de diverses convoitises : meuniers, agriculteurs, propriétaires de châteaux. Aujourd’hui, elle présente une véritable mosaïque de milieux très diversifiés : bois, champs, milieux humides… ponctués d’un riche patrimoine : églises, châteaux, moulins…. Au fur et à mesure de votre promenade, vous comprendrez que la nature vit autour de nous dans un équilibre acquis au cours de l’évolution. Au choix : partir pour la totalité de la randonnée de 12 km (balisage jaune) ou effectuer des boucles plus courtes (3 km, 6 km…). Départ : mairie de Montigny-sur-Avre.

Procurez-vous le livret pédagogique auprès de la mairie de Montigny-sur-Avre ou à l’Office de Tourisme à Verneuil-sur-Avre ou par téléchargement. A visiter également le château de Montigny-sur-Avre

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Les Girouettes de Jean-Pierre Masquelier

Jean-Pierre Masquelier, inscrit à la Chambre des Métiers de l’Eure, vous invite à découvrir son atelier de fabrication de girouettes, activité qu’il pratique depuis 1980 : la restauration et la fabrication de girouettes en zinc (matériau traditionnel). A son catalogue d’une cinquantaine de modèles viennent s’ajouter des réalisations personnalisées sur demande. Avant de se lancer dans la réalisation, Jean-Pierre Masquelier effectue une recherche documentaire afin de ne pas commettre la moindre erreur de représentation, et met un point d’honneur à ce que l’objet final remplisse sa mission première : indiquer le vent ! Visite gratuite de l’atelier sur rendez-vous. Groupes acceptés jusqu’à 10 personnes Informations pratiquesTéléphone : 02 32 32 62 76 Adresse : 213, rue de la Conarderie 27160 Francheville Site internet : http://www.girouettes-masquelier.fr source: http://www.normandie-sud-tourisme.fr

8e édition de ce festival des musiques du monde. Ce festival est fréquenté par plus de 1000 personnes chaque année, dans une ambiance très conviviale. 5 groupes se relayent tout au long de la soirée. Quelques interludes de danse sont proposés par des artistes locaux ainsi qu’une démonstration de danse brésilienne. Restauration sur place. A partir de 17h30. Tarifs : 6 euros / personne. Gratuit / moins de 12 ans. Programme détaillé : 17h30 : association “Cristale” 18h15 : tremplin jeunes 19h05 : duo contemporain (danse) 19h15 : Arnold Rapido 20h10 : danseuses brésiliennes 20h55 : the Naughty Brothers 21h55 : solo de danse orientale 22h : Julien Ouvrard Celtic Band 23h : danseur hip hop 23h10 : Sad En savoir plus sur http://lesfestiroutils.wix.com/lesfestiroutiCoordonnées et infos pratiques Adresse : Hameau de Tivoly 27320 MARCILLY-LA-CAMPAGNE Mobile : 06 99 01 12 02 source: http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Samedi 19 Juillet Vide-greniers Foires à tout

APPEVILLE ANNEBAULT Vide-greniers

BERNAY Braderie CIERREY

32 Foire à tout DRUCOURT

Grand vide maison petits prix

LERY Vide-greniers

Dimanche 20 Juillet

AMFREVILLE LES CHAMPS Foire à tout

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FATOUVILLE GRESTAIN Foira a tout et bric a brac

IVRY LA BATAILLE FOIRE A TOUT

LA FERRIERE SUR RISLE Marché des brocanteurs professionnels

LE BOIS HELLAIN Foire à tout

LE THEIL NOLENT Foire à tout

MESNIL ROUSSET Foire à tout

QUILLEBEUF SUR SEINE Foire à tout

VERNEUIL SUR AVRE Foire au puces

Source: http://www.lelbeuvien.fr/pages/sortir/les-foires-a-tout.html

Pour les amis du camping

Laissez un ptit com prochain article jeudi

Au camping les berges de l 'Iton Valérie et José nous ont concocté une soirée spéciale cochon grillé , ambiance assurée . Plus finale coupe du monde Argentine Allemagne

 Ce 14 Juillet nous inaugurons le nouveau look de la piscine José a travaillé sans relâche pour nous faire voir la vie en Bleu et vert , et  non ce ne sont pas les couleurs d' une équipe de foot !

Nous avons commandé le soleil , nous espérons que la poste  ne fera pas grève

Kid Programme : et toi, tu fais quoi pendant les vacances ?

Le Kid Programme est un agenda des manifestations à destination des enfants et adolescents de 0 à 16 ans sur le territoire Normandie Sud. Proposant au minimum une activité par jour, il parait à chacune des vacances scolaires (toutes zones confondues). Vous y trouverez de nombreuses activités organisées par des professionnels du tourisme et adaptées à plusieurs tranches d’ages.

Contes pour les moins de 3 ans, balades à dos d’âne pour les 4-10 ans, ateliers cuisine à partir de 6 ans, visite guidée de Verneuil-sur-Avre en énigmes pour les 7-12 ans, initiation au tir à l’arc à partir de 10 ans, paintball à partir de 12 ans…

Le Kid ProgrammeCoordonnéesTéléphone

: 02 32 32 17 17 Adresse de contact : accueil@tourisme-avre-eure-iton.fr Adresse : 129, place de la Madeleine 27130 Verneuil-sur-Avre Horaires :

Office de Tourisme ouvert du lundi au samedi de 9h30 à 13h et de 14h à 18h des vacances d’été est disponible dans votre Office de Tourisme.

http://www.campinglesbergesdeliton.com  sera heureux de vous recevoir en caravane ,tente ,camping car

Tarifs 13 ans et + : 10€ Enfants de 2 à 12 ans : 6€ Moins de 2 ans : gratuit Groupe à partir de 12 personnes : 6 €/personne.

Source :http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Naturama, Le Bois des Aigles

Une promenade dans un bois de 5 ha jalonnée de volières vous permet de découvrir et de côtoyer près d’une centaine d’oiseaux de proie (plus de 30 espèces). Après la présentation de rapaces en vol (en extérieur ou selon conditions techniques en intérieur si météo défavorable), l’occasion d’un tête à tête mémorable avec ces oiseaux extraordinaires, vous pourrez en savoir plus grâce aux vidéos et aux documents à voir et à consulter sur place. La buvette sera votre lieu de rencontre privilégié pour bavarder avec les soigneurs passionnés. Vous pouvez également profiter de la formule “pass soigneur – Une journée avec les rapaces” où vous pourrez passer la journée ou la demi journée avec les soigneurs et les accompagner dans leurs taches. Cette activité est possible pour les adolescents et les adultes. Nous contacter pour avoir les tarifs. Équipements pour bébés : table à langer, site accessible aux poussettes. Pour enfants : animation ponctuelle

“Le monde insolite des rapaces” (à partir de 7 ans), support de visite adapté aux enfants. Découvrez, en vidéo, les moments “Happy” du quotidien au Naturama A PARTIR DU 15 JUILLET :

“Nouvel Envol du Bois des Aigles”. Ouverture d’un Espace Kidz (2 à 10 ans) avec structures gonflables, karting, jeux en bois, chenille, maquillage).

Informations pratiquesTéléphone

: 02 32 30 62 61 Mobile : 06 16 51 52 97 Adresse : 10 route des Turgères 27130 Bâlines Site internet : http://www.naturama-leboisdesaigles.fr Périodes d'ouverture et de fermetureAccueil : Vacances scolaires : ouvert tous les jours de 10h30 à 18h.

Fermeture exceptionnelle les 12, 13 et 14 juillet. Hors vacances scolaires : ouvert les mercredis, samedis, dimanches et jours fériés de 10h30 à 18h. Ouvert toute l'année sur réservation pour les groupes. Spectacle de vol à 15h30 jusqu'au 11 juillet. Puis 1 sepctacle en fin de matinée + 1 en milieu d'après midi à partir du 15 juillet 2014.

source : http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Les Estivales du P’tit bar

Les « Estivales » du P’tit bar commenceront le vendredi 11 juillet 2014 à 18 h et se termineront dans la nuit. Au programme : des concerts aux styles musicaux variés : - Un groupe local « Signal Sonore » ska reggae rock - « Les Garçons Trottoirs » , boys band acoustique, chanson française humoristique. - « Hop Hop Hop Crew » musique festive dansante des Balkans « Rom arrangé ». - « The Naughty Brothers » Blues Rock Mais aussi : - de la danse avec une « Zumba Party » avec l’association Fit-Forme de la Guéroulde - les « jeux géants en bois » avec La Ludo d’Iton - un atelier peinture ouvert à tous - un stand maquillage enfants Buvette et restauration Tarif plein: 10 € ; tarif réduit 5 € ( collégiens, lycéens, étudiants, demandeurs d’emploi); gratuit moins de 12 ans. Coordonnées et infos pratiques Adresse : Cour de la mairie SAINT-OUEN-D'ATTEZ Téléphone : 02 32 32 08 48 Dates Le Vendredi 11 Juillet 2014 Horaires • A 18:00 http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Fêtes aux alentours

• Fête Nationale à St-Lubin-des-Joncherets Le Dimanche 13 Juillet 2014 SAINT-LUBIN-DES-JONCHERETS Catégorie : Bal, Son et lumières Feux • Fête Nationale à Verneuil-sur-Avre Le Dimanche 13 Juillet 2014 VERNEUIL-SUR-AVRE

source  http://www.normandie-sud-tourisme.fr

Je ne sais pas vous ce que vous auriez fait ? mais moi je me suis trouvée si insignifiante  que je n'ai su  que leur  bredouiller  quelques remerciements  pour leur travail et leur engagement  ils   m'ont remercié elle avec un accent et son beau  sourire et lui tout aussi   avec aussi un   sourire .Je les ai quitté  .Mon cœur battait très fort j'avais touché du regard   l' Histoire avec un grand H . Ils ne sauront jamais à quel point cette rencontre m' a bouleversée , j'aurais aimé être moins timide moins respectueuse aussi . J'aurais aimé converser avec eux mais j'ai préféré les laisser et savourer ce moment de détente

Voilà pourquoi un blog pour vous faire partager ce moment unique pour moi . Unique comme le sont toutes les personnes que l 'on rencontre dans la vie avec parfois certaines qui se distinguent en refusant de courber le dos , elles gardent la tête haute se battent . Tout cela pour que l'homme  garde son humanité

Mamie Nanou

EMPREINTES : SERGE ET BEATE KLARSFELD, GUERILLEROS DE LA MEMOIRE

Soudés dans leur engagement, Serge et Beate Klarsfeld ont consacré leur vie à la traque des criminels de guerre nazis. A l’occasion de la Journée internationale à la mémoire des victimes de la Shoah, Empreintes revient sur la témérité de ce couple, leur soif de justice et leur audace insensée. Je ne suis pas une aventurière, je ne suis pas une professionnelle de la politique qui est payée pour faire ce qu’elle fait. […] Je le fais parce que je sens qu’il faut le faire, […] la peur est dépassée par la motivation. (Beate) Beate est allemande, de la génération des enfants des bourreaux. Moi, je suis juif, de la génération des enfants qui auraient pu mourir à Auschwitz. (Serge)

© One Line Productions

Quand je suis arrivée en France en 1960, je venais d’un milieu familial très traditionnel, avec des parents qui n’étaient ni pour ni contre les nazis. C’était quand même la majorité silencieuse qui avait voté pour Hitler. A l’école, je n’ai pas appris grand-chose de ce qui était arrivé entre 1943 et 1945. Et c’est finalement l’arrivée en France en 1960 qui m’a ouvert les yeux, et la rencontre avec Serge, qui était historien. (Beate) Je fais partie d’un peuple qui a été responsable de la déportation de 6 millions de juifs. Si j’agis aujourd’hui, c’est que j’ai une responsabilité historique et morale à accomplir. (Beate) Nous étions insouciants quand nous nous sommes rencontrés […], nous n’avions pas la moindre ambition, sinon d’être heureux. (Serge)

© One Line Productions

Rien n’est écrit, c’est la volonté humaine qui fait tout. Quand la volonté humaine s’exprime, elle fait changer les choses. Donc, par l’énergie et l’enthousiasme, et même avec de faibles moyens, on peut faire changer les choses. Voilà ce qu’ils [Beate et Serge] m’ont enseigné. (Arno, leur fils) Quoi qu’il puisse arriver, Beate est la seule Allemande qui aura fait ce qu’elle a fait contre les criminels nazis. (Serge) Quand nous avons commencé, en 1978, à faire le Mémorial de la déportation, on ne savait pas combien de juifs avaient été déportés. Le ministère des Anciens Combattants parlait de 100 000 à 120 000, les Allemands de 50 000 à 65 000. Nous avons donné le chiffre pratiquement exact de 75 721. […] Il fallait le faire : c’est un hommage à rendre à chaque déporté. (Serge) Source le Mag :http://www.france5.fr/et-vous/France-5-et-vous/Les-programmes/LE-MAG-N-4-2011/articles/p-11635-Empreintes-Serge-et-Beate-Klarsfeld-guerilleros-de.htm

Source le Mag :http://www.france5.fr/et-vous/France-5-et-vous/Les-programmes/LE-MAG-N-4-2011/articles/p-11635-Empreintes-Serge-et-Beate-Klarsfeld-guerilleros-de.htm

Portrait d'une famille pas comme les autres, engagée dans une seule et même cause. Serge, Beate, Arno et Lida Klarsfeld croisent leurs regards sur leur singulière histoire, leur combat, leur héritage, leur relation.

Au commencement, il y a l'histoire de Serge Klarsfeld. Le 30 septembre 1943, alors âgé de 8 ans, il assiste à l'arrestation de son père par la Gestapo, caché avec sa mère et sa soeur dans le double fond d'une armoire. Un véritable sacrifice puisque tout avait été prévu pour que lui seul soit arrêté. Et puis, il y a une rencontre en 1960, dans le métro : celle de Serge, étudiant à Sciences-Po, et de Beate Kunzel, Allemande débarquée à Paris comme jeune fille au pair. Deux consciences qui n'en feront bientôt qu'une. Serge Klarsfeld mène un "combat pour la justice et la mémoire", fait "ce qu'auraient voulu les déportés", écrit la vérité sur ce qu'ils ont vécu ; Beate, parce qu'elle est Allemande, déclare : "J'ai une responsabilité historique et morale à accomplir". Témoin privilégié de ce couple hors du commun, Lida, leur fille, conclut : "C'était impossible l'un sans l'autre". Un événement détermine la suite : en 1966, Kiesinger, ancien propagandiste nazi, est élu chancelier de RFA. Beate s'insurge, écrit dans le journal Combat et, pour marquer les esprits, emploie une "violence symbolique", l'une des manifestations de l'activité des Klarsfeld. Le 7 novembre 1968, elle gifle le chancelier. En 1971, le couple décide de traquer les anciens nazis. Pour cela, il fallut beaucoup de courage et de patience pour rassembler les preuves, interpeller les médias, mobiliser le public et la communauté juive, agir alors qu'aucune loi n'existait en ce sens. Après Kiesinger, ce furent dix années de lutte pour voir jugés Kurt Lischka, Herbert Hagen, Ernst Heinrichsohn. Dix années encore pour localiser et juger Aloïs Brunner et Klaus Barbie, des années pour Touvier et Papon. "Expliquer que la Shoah, ce n'est pas six millions de personnes mais 1 + 1 + 1" En 1979, ils fondent l'Association des fils et filles des déportés juifs de France. Ainsi, ils rassemblent, vérifient les informations sur les milliers d'hommes, de femmes et d'enfants déportés, font valoir les droits de leurs descendants et finalement, constituent une "sépulture symbolique" avec le Mémorial de la déportation des juifs de France. C'est l'oeuvre de Serge Klarsfeld, historien, entouré d'archives, de dossiers, de listes interminables des juifs déportés. "J'ai beaucoup influencé la muséographie et la recherche historique en ce qui concerne la Shoah. Le principal apport a été d'individualiser la Shoah, c'est-à-dire d'expliquer que la Shoah, ce n'est pas six millions de personnes mais 1 + 1 + 1...", reconnaît-il sans prétention, mais conscient de son action, il ajoute : "Personne d'autre n'aurait pu le faire puisque personne d'autre ne l'a fait." Autour de ces combats se construit une famille qui ressemble à une tribu. Serge, Beate, Arno et Lida vivent dans la même maison, partagent un compte bancaire et livrent les mêmes batailles. Arno, avocat, a pris la relève. Après avoir giflé Jean-Marie Le Pen, il a enflammé les audiences des procès Touvier, en 1994, et Papon, en 1998. Arno reconnaît la pression morale qui s'exerce parfois sur lui : "Il faut gagner l'estime. J'ai un exemple élevé, il faut donc se montrer digne. (...) On a peur de se décevoir soi-même." Chez les Klarsfeld, aucun héroïsme triomphant mais beaucoup de simplicité et d'humilité pour un combat qui paraît à chacun si juste. source :http://www.ordiecole.com/klarsfeld.html