• Brume et Givre

     
     
     
    L'araignée Gypsy
     
    Chanson enfantine
     

    L'araignée Gypsy monte à la gouttière
    Tiens voilà la pluie,
    Gypsy tombe par terre,
    Mais le soleil a séché la pluie…
    L'araignée Gypsy monte à la gouttière
    Tiens voilà la pluie,
    Gypsy tombe par terre,
    Mais le soleil a séché la pluie…
    L'araignée Gypsy s'est endormie.

     

     

    Brume et Givre

     

     

    Brume et Givre


    11 commentaires
  •  

     

     

    LE HÉRON

       Un jour sur ses longs pieds allait je ne sais où
       Le Héron au long bec emmanché d’un long cou.
                  Il côtoyait une rivière.
       L’onde était transparente ainsi qu’aux plus beaux jours ;
       Ma commère la Carpe y faisait mille tours
                  Avec le Brochet son compère.
       Le Héron en eût fait aisément son profit :
       Tous approchaient du bord, l’Oiseau n’avait qu’à prendre ;
                  Mais il crut mieux faire d’attendre
                  Qu’il eût un peu plus d’appétit.
       Il vivait de régime, et mangeait à ses heures.
       Après quelques moments l’appétit vint ; l’Oiseau
                  S’approchant du bord vit sur l’eau
       Des Tanches qui sortaient du fond de ces demeures.
       Le mets ne lui plut pas ; il s’attendait à mieux,
                  Et montrait un goût dédaigneux
                  Comme le Rat du bon Horace. (1)
       Moi des Tanches ? dit-il, moi Héron que je fasse
       Une si pauvre chère ? Et pour qui me prend-on ?
       La Tanche rebutée (2), il trouva du Goujon.
       Du Goujon ! c’est bien là le dîné d’un Héron !
       J’ouvrirais pour si peu le bec ! aux Dieux ne plaise !
       Il l’ouvrit pour bien moins : tout alla de façon
                  Qu’il ne vit plus aucun Poisson.
       La faim le prit ; il fut tout heureux et tout aise
                  De rencontrer un Limaçon.
                  Ne soyons pas si difficiles :
       Les plus accommodants, ce sont les plus habiles :
       On hasarde de perdre en voulant trop gagner.
                Gardez-vous de rien dédaigner ;
       Surtout quand vous avez à peu près votre compte.
       Bien des gens y sont pris ; ce n’est pas aux Hérons
       Que je parle ; écoutez, humains, un autre conte ;
       Vous verrez que chez vous j’ai puisé ces leçons

    Fable, JEAN DE LA FONTAINE,      

     

     

     


    16 commentaires
  •  

     

    Fais moi un signe

     

     

    Fais moi un signe

     

     

    Fais moi un signe

     

     

    Fais moi un signe

     

     

    Fais moi un signe


    9 commentaires
  •  

     

    T' oies t'oies mon t'oies

     

     

    Fin de pause

     

     

    Fin de pause

     

     

    Fin de pause

     

     

    Fin de pause


    10 commentaires
  • sous bois bis

     

    Le ruisseau n'apprend pas à couler dans sa pente, L'aigle à fendre les airs d'une aile indépendante, L'abeille à composer son miel

    (Alphonse de LAMARTINE
     
     
     


     

    sous bois bis

     

    ceci n 'est pas un cœur

     

     

    sous bois bis

     

    Varicelle de l 'arbre ?

     

     

    sous bois bis

     


    votre commentaire