• Aloïse Corbaz une découverte pour moi

    Petite, son rêve est de devenir cantatrice. Elle perd sa mère, d'origine paysanne, à 11 ans. Son père est employé des postes[1]. À 18 ans, après avoir obtenu un diplôme de culture générale à l'école secondaire et suivi des cours de chant, elle s'inscrit à l'école professionnelle de couture de Lausanne. Elle exerce un temps comme surveillante dans divers pensionnats lausannois. Elle tombe ensuite follement amoureuse d'un prêtre français défroqué et doit le quitter en 1911, selon sa nièce, sous les menaces de sa sœur aînée qui l'envoie en Allemagne pour mettre fin au scandale. Là, elle travaille comme gouvernante d'enfants une quinzaine de jours chez une famille noble de Leipzig, quelques mois à Berlin, puis environ dix-huit mois à Potsdam. D'après ses écrits, Aloïse y rencontre le chapelain de l'empereur Guillaume II, le pasteur Hennike, qui l'engage comme gouvernante de ses filles à la cour. Elle est libre de se promener dans le parc de Sans-Souci et chante Haendel à la chapelle. Comme l'attestent des lettres ultérieures, elle tombe amoureuse de l'empereur :

     

     

    « Que ne puis-je retremper mon âme en feu dans les yeux de firmament constellé d'étoiles d'un homme inaccessible que j'aime éperdument[2]. »

    Aloïse rentre en Suisse avant la Première Guerre mondiale. Elle manifeste alors des sentiments religieux, pacifistes et humanitaires et, en 1918, est hospitalisée pour des troubles mentaux (schizophrénie) à l'asile de Cery de Prilly. Dans une lettre à son père, elle exprime son profond désarroi. Dès 1920, elle est définitivement internée à l'asile de la Rosière à Gimel  où elle offre ses services pour repasser et raccommoder les tabliers des infirmières. Elle commence à écrire et à dessiner sur sa table de repassage dès les années 1920, au départ avec des moyens de fortune, puis avec du matériel fourni par certains médecins et infirmières. Elle continuera de créer jusqu'à sa mort. Wikipédia

     

     

     

    Vous l'aurez peut être remarqué mais j'ai un faible pour les femmes peintres  

     

      

     

     

     

     

     

     

     

     


  • Commentaires

    7
    Samedi 24 Mars 2018 à 11:07

    coucou ma belle, longtemps que je ne suis venue te voir, j'ai changé de lieu pour le blog,trop souvent de panne chez canal,pour la penture,c'est mon père qui en faisait, j'ai même posé des photos sur le blog.J'espère que tout va bien pour toi,bisous.

    6
    Jeudi 5 Mars 2015 à 08:33

    ça ressemble à Picasso ! yes bises

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    5
    Jeudi 5 Mars 2015 à 08:18

    Bonjour Nanou

    En peintre je connais que certains  grands noms celle ci je ne connaissais pas

     Bonne journée ensoleillée bisous

    4
    Jeudi 5 Mars 2015 à 07:43

    Pour moi aussi une découverte car point érudite en la matière, mais je connais un autre blog, fanfanchatblanc, qui parle beaucoup des femmes peintres... merci nanou, bises de JB

    3
    Jeudi 5 Mars 2015 à 07:23

    coucou ma petite nanou 

    moi  non plus je connais pas  trop la peinture 

    mais j adore les tableaux que  tu fais toi

    http://wir.skyrock.net/wir/v1/resize/?c=isi&im=%2F5986%2F62025986%2Fpics%2F3161988036_1_2_KuF9Zzpv.gif&w=759

    et gros bisous ma petite nanou **dany

    hier un beau soleil et de la pluie ici

     

    2
    Jeudi 5 Mars 2015 à 07:19

    nous avons tant de talent en nous , nous autres du sexe faible !! bises

    1
    Jeudi 5 Mars 2015 à 06:16

    je ne connais rien en peinture, on ma offert il y a 10 ans un tableau signé Burnett que j'aime beaucoup

     

    belle journée bisous

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