• Viens poupoule

     

    Et oui même des poules au Cerza

     

     

    Viens poupoule

     

     

     

     

    Viens poupoule

     

     

     


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  • Pygmé

     

     

    Pygmé

     

     

    Pygmé

     

     

    Pygmé

    L'hippopotame nain

    Nom scientifique : Hexaprotodon (Choeropsis) liberiensis
    Taille: 1,70 à 1,95 m de long et 75 cm de haut
    Poids : 180 à 270 kg
    Alimentation : herbes, feuilles, racines, fruits.
    Espérance de vie : 35 ans et 42 ans en captivité
    Distribution géographique : Forêts proches des côtes de l'Afrique occidentale. Fleuve Bafing en Guinée jusqu'au fleuve Bandama en Côte-d'Ivoire, à travers la Sierra Leone et le Liberia.

     
    Tout comme son cousin, l'hippopotame nain se sent aussi bien sur terre que dans l'eau mais préfère la terre ferme. C'est un excellent nageur mais il est moins adapté à la vie aquatique que l'hippopotame commun : ses yeux et ses oreilles sont plus bas sur la tête. Il est obligé de lever la tête pour respirer et pour voir lorsqu'il se trouve dans l'eau. En cas de danger, l'hippopotame nain ira se protéger dans la forêt plutôt que dans l'eau.
    L'hippopotame nain ne vit pas en groupe comme son cousin. Il est plutôt solitaire mais on peut parfois les voir par deux en couple ou une mère et son petit.

    Menaces
    Comme beaucoup d'animaux, l'hippopotame nain est menacé par l'homme qui le chasse pour sa viande. En plus son habitat ne fait que diminuer. En Guinée par exemple, les hommes coupent la forêt pour obtenir du bois et des terres à cultiver. Au Libéria, les mines de fer et de diamant provoquent l'ensablement des rivières et les plantes disparaissent. Dans le Delta du Niger, la pollution par le pétrole est le problème le plus important. Au Libéria et en Sierra Léone, pays instables, la protection et la gestion de la nature ne sont pas des priorités
     
     

     L'hippopotame pygmée

     

     


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  • Cigogne

          


    Le Renard et la Cigogne

    Compère le Renard se mit un jour en frais,
    et retint à dîner commère la Cigogne.
    Le régal fût petit et sans beaucoup d'apprêts :
    Le galant pour toute besogne,
    Avait un brouet clair ; il vivait chichement.
    Ce brouet fut par lui servi sur une assiette :
    La Cigogne au long bec n'en put attraper miette ;
    Et le drôle eut lapé le tout en un moment.
    Pour se venger de cette tromperie,
    A quelque temps de là, la Cigogne le prie.
    "Volontiers, lui dit-il ; car avec mes amis
    Je ne fais point cérémonie. "
    A l'heure dite, il courut au logis
    De la Cigogne son hôtesse ;
    Loua très fort la politesse ;
    Trouva le dîner cuit à point :
    Bon appétit surtout ; Renards n'en manquent point.
    Il se réjouissait à l'odeur de la viande
    Mise en menus morceaux, et qu'il croyait friande.
    On servit, pour l'embarrasser,
    En un vase à long col et d'étroite embouchure.
    Le bec de la Cigogne y pouvait bien passer ;
    Mais le museau du sire était d'autre mesure.
    Il lui fallut à jeun retourner au logis,
    Honteux comme un Renard qu'une Poule aurait pris,
    Serrant la queue, et portant bas l'oreille.
    Trompeurs, c'est pour vous que j'écris :
    Attendez-vous à la pareille.

     

     

    Cigogne

     

     

     BON WE  A  LUNDI

    Cigogne


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    LA LEGENDE DU BUFFLE

    Dans son parc, solitaire et l'aspect impavide,
    Repose le BUFFLE au regard lointain et vide…
    Sans doute poursuit-il quelque songe intérieur
    Ayant trait à sa vie dans des temps antérieurs ?

    Peut-être pense-t-il au jour où, du Maître des Cieux
    Il reçut deux sachets remplis de grains précieux
    Pour descendre ici-bas, avec mission spéciale
    D'y semer de l'herbe et surtout des céréales.

    Jour fatal pour lui car, dès qu'il vit notre Terre
    Trop distrait par la beauté des sols et des mers,
    Il vida, sans vérifier, l'un des sacs de graines
    Et vit l'herbe envahir presque toutes nos plaines !

    Ouvrant l'autre sac, il jeta d'une main preste
    Ce qui aurait du être la manne céleste ;
    Las! les endroits vierges encore étaient bien rares
    Il ne put rattraper son tragique retard.

    L'Empereur de Jade demeura ferme et froid,
    Le changeant en buffle, il l'envoya cette fois
    Sur terre pour réparer son étourderie
    En aidant les hommes à cultiver le riz.

    En souvenir de son passé lui reste encore,
    Surmontant la masse imposante de son corps,
    La paire de cornes d'étonnante envergure,
    Pour rappeler sa mandarinale coiffure…

    Ainsi, jusqu'à la fin des temps, Génie déchu,
    Tu devras expier par un labeur continu
    Une fâcheuse erreur… Est-ce à cela, dis-moi,
    Que tu songes, avec ce regard plein d'émoi ?

    Marie Thérèse NGUYEN AI CHUAN DEMARIAUX

     

     

     

     


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    Sophie

     

     

     

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    Sophie


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